... Zaza pose toujours sa question du lundi parmi tant d'autres...et cette interrogation ne pouvait pas être absente de mes pages, en cette journée de retour au pays et de reprise des taches ménagères.
Il est temps que je vous l'avoue, je ne suis véritablement l'actualité qe depuis un peu moins d'un an, suite au lancement de ce blog...auparavant ej prenais ce qui me tombait sous la main, je papillonnais d'un roman à un autre en espérant trouver de temps à autre la perle rare et ..pour tout vous dire, je lisais également moins par rapport à maintenant !
Pour cette rentrée littéraire, je me suis lancée dasn al découverte des romans, j'ai établi une sélection grâce à la lecture du magazine Lire, et je me suis également fiée aux commentaires de toutes ces lectrices partageant sur la toile, coups de coeur et coups de gueule...
Un roman a de suite attiré mon regard, il s'agissait du dernier de Delphine de Vigan "Rien ne s'oppose à la nuit".
Pourquoi ? Je ne saurais véritablement le dire. Ce n'est pas un sujet de lecture facile, les troubles psychologiques d'une mère... J'ai déjà chez moi, du même auteur, " Les heures souterraines", sans l'avoir encore lu. Il faut bien se l'avouer, une chose m'a fait valider ce roman, son visuel, et sa couverture qui est indubitablement une des plus belles de cette rentrée... Je vais recevoir d'ici peu ce roman, grâce aux matchs de la rentrée littéraire, à l'instigation de Price Minister..il me tarde d'avoir ce roman entre les mains...
La rentrée littéraire, ça se pase aussi à l'étranger, et j'ai jeté mon dévolu sur le dernier roman de l'Irlandais Joseph O'Connor "Muse", dnt j'ai démarré la lecture il y a quelques jours.
Il me tarde de me replonger dedans...Comme je suis légèrement maniaque avec mes roans, il m'était impensable de l'embarquer dans une valise, un sac à main, pendant mon week-end à Porto, de peur de l'abîmer. Résultat, un bon Douglas Kennedy lui a volé la vedette !
Pour ce mois-ci, une dernière rentrée littéraire doit arriver également chez moi, grâce cette fois-ci à la Masse Critique de Babélio, je trépigne devant ma boîte aux lettres en attendant la venue du roman "Le kiosque", de la Russe Olga Grushin...
Et voilà, c'est ça ma rentrée littéraire, loin des Amélie Nothomb et autre Beigbeder !