Il y a deux ans, la vague du nouveau phénomène littéraire intitulé le Mummy porn déferlait dans les rayonnages des librairies, me laissant indécise, peu curieuse en voyant E. L. James se faire son beurre sur une trilogie dont tout le monde dit que le style est à pleurer, et le succès exagéré.
On parle d’adaptation ciné, on fantasme sur ce Mr. Grey qui ne me fait ni chaud ni froid… et pendant ce temps-là, les nouvelles sorties du même genre se succèdent, se multiplient, et la curiosité finit finalement par s’insinuer doucement.
Jusqu’au jour où je vois Beautiful bastard sortir en poche. Il ne m’aura fallu que quelques jours pour me décider, et acheter ce titre, apprenant ensuite qu’il est le premier tome d’une série d’au moins 6 titres !
Jeudi 1er mai, après une journée de congés sous la pluie, je rentre chez moi en fin d’après-midi, avec un roman achevé venant de rejoindre mon étagère. Que lire ensuite ?
Mon regard se pose alors sur le roman de Christina Lauren… et la soirée commence !
Chloé est en fin de stage, pour valider un diplôme qui propulsera sa carrière. Mais pour cela, elle doit supporter encore plusieurs mois son boss, Bennett, insupportable beau gosse au melon extraordinaire, qui ne fait que la rabaisser dans son travail.
Cette tension permanente entre les deux personnages montera encore d’un cran quand l’attirance physique prendre le dessus, un soir, dans une salle de réunion… Et les premières pages hot ne tardent pas à arriver sous nos yeux.
Pas de doute, ce n’est vraiment pas du tout de la grande littérature…mais ej me suis prise au jeu et, ce soir là, j’ai éteint la lumière en bloquant le marque-page à la page 270 ! Si seulement j’avançais toutes mes lectures aussi vite !
Alors oui, l’histoire n’a rien de très original, et peut rappeler des scènes de romans « pour filles » déjà lu auparavant… les scènes de sexe en moins ! Et concernant ce dernier critère, les amateurs du genre ne loupent rien !
Au bout d’un quarantaine de pages, le constat est clair : il ne faut pas rougir en lisant des scènes de sexe, sinon les joues sont en feu pour toute la durée de la lecture. Mais bon, c’est le genre du roman qui veut ça. Malgré tout, étant adepte des joutes verbales, j’estime que certaines scènes pouvaient être réglées verbalement, plutôt que tout de suite remettre tout au plan cul… mais bon, je ne vais pas faire ma fine bouche, il ne fallait pas s’attendre à du grand art.
J’ai bien aimé le personnage de Chloé, plus efficace et réaliste que son sexy patron Bennett, que j’ai trouvé trop bourré de clichés, de stéréotypes cours d’avance.
Alors, me direz-vous, qu’elle est mon impression finale sur ce roman ?
Je ne suis ni négative, ni pleinement enthousiaste, mais ce serait mentir de dire que je n’ai pas apprécié la lecture de ce roman. Disons qu’il élimine le côté tout doux et gentillet de certains romans de bit-lit, où l’on a qu’une envie, secouer les personnages pour qu’ils aillent plus loin… Mais là, pour le coup, ce serait pas mal de freiner un peu la cadence de temps à autre. Savoir qu’il y a une scène de sexe à chaque chapitre, ça gâche l’impression de découverte.
Petit plus de ce roman, l’alternance dans la narration entre Chloé et Bennett, qui permet de voir les deux points de vue des personnages !
Et vous, l’avez-vous lu ? Lisez-vous du Mummy porn ?
Pas de doute, ce n’est vraiment pas du tout de la grande littérature…mais ej me suis prise au jeu et, ce soir là, j’ai éteint la lumière en bloquant le marque-page à la page 270 ! Si seulement j’avançais toutes mes lectures aussi vite !
Alors oui, l’histoire n’a rien de très original, et peut rappeler des scènes de romans « pour filles » déjà lu auparavant… les scènes de sexe en moins ! Et concernant ce dernier critère, les amateurs du genre ne loupent rien !
Au bout d’un quarantaine de pages, le constat est clair : il ne faut pas rougir en lisant des scènes de sexe, sinon les joues sont en feu pour toute la durée de la lecture. Mais bon, c’est le genre du roman qui veut ça. Malgré tout, étant adepte des joutes verbales, j’estime que certaines scènes pouvaient être réglées verbalement, plutôt que tout de suite remettre tout au plan cul… mais bon, je ne vais pas faire ma fine bouche, il ne fallait pas s’attendre à du grand art.
J’ai bien aimé le personnage de Chloé, plus efficace et réaliste que son sexy patron Bennett, que j’ai trouvé trop bourré de clichés, de stéréotypes cours d’avance.
Alors, me direz-vous, qu’elle est mon impression finale sur ce roman ?
Je ne suis ni négative, ni pleinement enthousiaste, mais ce serait mentir de dire que je n’ai pas apprécié la lecture de ce roman. Disons qu’il élimine le côté tout doux et gentillet de certains romans de bit-lit, où l’on a qu’une envie, secouer les personnages pour qu’ils aillent plus loin… Mais là, pour le coup, ce serait pas mal de freiner un peu la cadence de temps à autre. Savoir qu’il y a une scène de sexe à chaque chapitre, ça gâche l’impression de découverte.
Petit plus de ce roman, l’alternance dans la narration entre Chloé et Bennett, qui permet de voir les deux points de vue des personnages ! Sachant que derrière le nom Christina Lauren se cache deux femmes... ont-elles chacunes un "rôle attitré", ou bien écrivent-elles à quatre mains les deux types de narration ?
Et vous, l’avez-vous lu ? Lisez-vous du Mummy porn ?